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ALLEGRETTO FROM SYMPHONY N 7
(BEET05855) :
18,31
Ludwig VAN BEETHOVEN
Arr : LAETITIA BOUVET
Editeur : Editions Robert Martin
Arr : LAETITIA BOUVET
Editeur : Editions Robert Martin
Durée : 3'00
Genre : Musique Instrumentale
Formation : Clarinette
Genre : Musique Instrumentale
Formation : Clarinette
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Laëtitia Bouvet nous propose un arrangement pour quatuor de clarinettes de l'Allegretto de La Symphonie n7.
La Symphonie n 7 en la majeur, op. 92 de Ludwig van Beethoven est une des neuf symphonies du compositeur, pour orchestre symphonique, en 4 mouvements, composée entre 1811 et 1812. Son 2e mouvement Allegretto est « une de mes meilleures œuvres » selon le compositeur, une « apothéose de la danse... » selon Richard Wagner.
Beethoven compose cette symphonie grandiose durant la terrible période de campagne de Russie de 1812 des guerres napoléoniennes (1803-1815) contre le Saint-Empire romain germanique, en même temps que sa Symphonie n 8, durant une cure thermale à Teplitz en Bohême, ou âgé de 41 ans, il tente de soigner ses débuts de surdité croissante causée par une otospongiose. Il rencontre Goethe durant cette période, avec qui il partage ses plus vifs tourments patriotiques vis à vis de l'issue de la guerre.
Sa première exécution a lieu le 8 décembre 1813 pour un concert de charité à l'université de Vienne en Autriche, avec un orchestre symphonique dirigé par lui même, composé de nombreux musiciens illustres dont Louis Spohr, Giacomo Meyerbeer, Mauro Giuliani, Johann Nepomuk Hummel, Ignaz Moscheles, Domenico Dragonetti, Andreas Romberg, et Antonio Salieri.... Ce concert de charité patriotique donné pour les soldats blessés de la bataille de Hanau (d'octobre 1813) ou il interprète également son œuvre La Victoire de Wellington, exalte les autrichiens et les troupes de la sixième Coalition contre l'armée napoléonienne de l'empereur Napoléon Ier. Son succès est tel qu'il doit rejouer son célèbre 2e mouvement Allegretto en rappel.
Richard Wagner cite dans son ouvrage L'Œuvre d'Art du Futur de 1849 « La symphonie est l'apothéose de la danse : c'est la danse dans son essence suprême, la réalisation la plus bénie du mouvement du corps presque idéalement concentré dans le son. Beethoven dans ses œuvres a mis le corps en musique, mettant en œuvre la fusion du corps et de l'esprit ».
La Symphonie n 7 en la majeur, op. 92 de Ludwig van Beethoven est une des neuf symphonies du compositeur, pour orchestre symphonique, en 4 mouvements, composée entre 1811 et 1812. Son 2e mouvement Allegretto est « une de mes meilleures œuvres » selon le compositeur, une « apothéose de la danse... » selon Richard Wagner.
Beethoven compose cette symphonie grandiose durant la terrible période de campagne de Russie de 1812 des guerres napoléoniennes (1803-1815) contre le Saint-Empire romain germanique, en même temps que sa Symphonie n 8, durant une cure thermale à Teplitz en Bohême, ou âgé de 41 ans, il tente de soigner ses débuts de surdité croissante causée par une otospongiose. Il rencontre Goethe durant cette période, avec qui il partage ses plus vifs tourments patriotiques vis à vis de l'issue de la guerre.
Sa première exécution a lieu le 8 décembre 1813 pour un concert de charité à l'université de Vienne en Autriche, avec un orchestre symphonique dirigé par lui même, composé de nombreux musiciens illustres dont Louis Spohr, Giacomo Meyerbeer, Mauro Giuliani, Johann Nepomuk Hummel, Ignaz Moscheles, Domenico Dragonetti, Andreas Romberg, et Antonio Salieri.... Ce concert de charité patriotique donné pour les soldats blessés de la bataille de Hanau (d'octobre 1813) ou il interprète également son œuvre La Victoire de Wellington, exalte les autrichiens et les troupes de la sixième Coalition contre l'armée napoléonienne de l'empereur Napoléon Ier. Son succès est tel qu'il doit rejouer son célèbre 2e mouvement Allegretto en rappel.
Richard Wagner cite dans son ouvrage L'Œuvre d'Art du Futur de 1849 « La symphonie est l'apothéose de la danse : c'est la danse dans son essence suprême, la réalisation la plus bénie du mouvement du corps presque idéalement concentré dans le son. Beethoven dans ses œuvres a mis le corps en musique, mettant en œuvre la fusion du corps et de l'esprit ».