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BERCEUSE OP.49 N 4
(BRAH05858) :
18,31
Johannes BRAHMS
Arr : LAETITIA BOUVET
Editeur : Editions Robert Martin
Arr : LAETITIA BOUVET
Editeur : Editions Robert Martin
Durée : 2'30
Genre : Musique Instrumentale
Formation : Clarinette
Style et options : Ensemble de clarinettes
Genre : Musique Instrumentale
Formation : Clarinette
Style et options : Ensemble de clarinettes
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Combien d’entre nous a été bercé par cette douce mélodie ? « Bonsoir, bonne nuit » est une œuvre publiée en 1868, initialement pour voix et piano.
Comme Schubert et Schumann, Brahms est un grand compositeur de lieder. Il en compose près de 200, dans des styles très divers : des chansons populaires aux lieder sur les textes des plus grands poètes, de sa propension à la nostalgie à ses méditations sur la mort.
Wiegenlied est extrait d’un ensemble de cinq lieder. Cette berceuse est sans doute la mélodie la plus connue de l’œuvre de Brahms. C’est une amie de Brahms, Bertha Faber, qui l’interprète pour la première fois pour l’anniversaire de son fils.
La première strophe est un texte extrait d’un recueil publié entre 1805 et 1808 : Des Knaben Wunderhorn (« Le Cor merveilleux de l’enfant »), il regroupe près de mille chants populaires allemands, dont certains remontent au Moyen Âge. La seconde a été écrite en 1849 par Georg Sherer.
Bonsoir, bonne nuit,
veillé par des roses
couvert de clous de girofle,
glisse sous l'édredon !
Demain matin, si Dieu veut,
Tu te réveilleras de nouveau.
Bonsoir, bonne nuit,
gardé par des angelots,
qui te montrent en rêve
l'arbre du petit Jésus :
dors maintenant, bienheureux et doucement
regarde dans les rêves du Paradis.
La berceuse de Brahms est d’une grande simplicité apparente : sa mélodie, identique pour chacune des strophes, est composée de deux phrases, elles-mêmes composées de deux parties. Mais l’accompagnement du piano est subtil et délicat, et les accords syncopés de la main droite apportent le balancement propice au bercement. Autre aspect indissociable de la berceuse, la répétition : ici, chaque strophe est répétée deux fois et, à l’intérieur de chacune d’elle, les deux derniers vers sont également repris.
Comme Schubert et Schumann, Brahms est un grand compositeur de lieder. Il en compose près de 200, dans des styles très divers : des chansons populaires aux lieder sur les textes des plus grands poètes, de sa propension à la nostalgie à ses méditations sur la mort.
Wiegenlied est extrait d’un ensemble de cinq lieder. Cette berceuse est sans doute la mélodie la plus connue de l’œuvre de Brahms. C’est une amie de Brahms, Bertha Faber, qui l’interprète pour la première fois pour l’anniversaire de son fils.
La première strophe est un texte extrait d’un recueil publié entre 1805 et 1808 : Des Knaben Wunderhorn (« Le Cor merveilleux de l’enfant »), il regroupe près de mille chants populaires allemands, dont certains remontent au Moyen Âge. La seconde a été écrite en 1849 par Georg Sherer.
Bonsoir, bonne nuit,
veillé par des roses
couvert de clous de girofle,
glisse sous l'édredon !
Demain matin, si Dieu veut,
Tu te réveilleras de nouveau.
Bonsoir, bonne nuit,
gardé par des angelots,
qui te montrent en rêve
l'arbre du petit Jésus :
dors maintenant, bienheureux et doucement
regarde dans les rêves du Paradis.
La berceuse de Brahms est d’une grande simplicité apparente : sa mélodie, identique pour chacune des strophes, est composée de deux phrases, elles-mêmes composées de deux parties. Mais l’accompagnement du piano est subtil et délicat, et les accords syncopés de la main droite apportent le balancement propice au bercement. Autre aspect indissociable de la berceuse, la répétition : ici, chaque strophe est répétée deux fois et, à l’intérieur de chacune d’elle, les deux derniers vers sont également repris.