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Pierre BIGOT
Editeur : Editions Robert Martin
Editeur : Editions Robert Martin
Niveau : Cycle 1
Genre : Musique Instrumentale
Formation : Cor
Style et options : Cor et piano
Genre : Musique Instrumentale
Formation : Cor
Style et options : Cor et piano
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De Pierre Bigot, fin connaisseur de musique ancienne, Compère Josquin, s’il eut été son contemporain, aurait pu dire : «… Pleurez de grosses larmes d’œil, la perte de Celui que nous avons porté en terre. »
Avec la disparition de Monsieur Pierre Bigot, un ardent défenseur de la musique pour instruments à vent nous quitte. Étymologiquement « Bigot » provient du vieux français de la Renaissance « by Got », qui signifie « par Dieu » expression originaire de la langue anglaise.
Étrange coïncidence du destin pour ce fervent croyant qui fut rappelé à Dieu, le jour de Pâques, lors de la semaine Sainte.
Dans les esprits, la carrière musicale de Pierre Bigot est étroitement associée à la Musique de la Police Nationale, dont il fut le chef durant de nombreuses années. Ayant débuté sa carrière comme officier de la Police Nationale, Pierre Bigot, éminent musicien, reçu en 1964, l’agrément de l’administration du Ministère de l’Intérieur afin d’occuper le poste de chef-adjoint (1964 à 1968) de la Musique Nationale (ex Musique de la Sûreté Nationale) avant d'en assurer la direction (1968-1986), au grade de commissaire principal.
À la tête de cette formation, il fit un travail considérable, dont les fruits auront eut pour conséquence d’hisser cette phalange au sein du peloton de tête des grandes formations nationales. Durant sa longue carrière, Pierre Bigot réalisera de nombreux enregistrements discographiques, témoins de sa maîtrise artistique, consacrés à la musique pour orchestre d’ harmonie, dédiés aux grandes œuvres du répertoire classique, à l’instar des « Préludes » de Franz Liszt, qu’il grava dans une version particulièrement inspirée, et qui fut unanimement appréciée. Il enregistrera également plusieurs disques consacrés à la musique française contemporaine, qu’il affectionnait tout particulièrement, avec des compositeurs aussi divers que Serge Lancen, Patrice Sciortino ou Guy Luypaerts, compositeurs qu’il a été le seul a enregistrer à l’époque. Pour ce faire, il travailla en étroite collaboration avec la société Corélia. Ainsi, la Musique de la Police Nationale fut l’une des toutes premières phalanges musicales à figurer au catalogue de cette maison de disques
Avec la disparition de Monsieur Pierre Bigot, un ardent défenseur de la musique pour instruments à vent nous quitte. Étymologiquement « Bigot » provient du vieux français de la Renaissance « by Got », qui signifie « par Dieu » expression originaire de la langue anglaise.
Étrange coïncidence du destin pour ce fervent croyant qui fut rappelé à Dieu, le jour de Pâques, lors de la semaine Sainte.
Dans les esprits, la carrière musicale de Pierre Bigot est étroitement associée à la Musique de la Police Nationale, dont il fut le chef durant de nombreuses années. Ayant débuté sa carrière comme officier de la Police Nationale, Pierre Bigot, éminent musicien, reçu en 1964, l’agrément de l’administration du Ministère de l’Intérieur afin d’occuper le poste de chef-adjoint (1964 à 1968) de la Musique Nationale (ex Musique de la Sûreté Nationale) avant d'en assurer la direction (1968-1986), au grade de commissaire principal.
À la tête de cette formation, il fit un travail considérable, dont les fruits auront eut pour conséquence d’hisser cette phalange au sein du peloton de tête des grandes formations nationales. Durant sa longue carrière, Pierre Bigot réalisera de nombreux enregistrements discographiques, témoins de sa maîtrise artistique, consacrés à la musique pour orchestre d’ harmonie, dédiés aux grandes œuvres du répertoire classique, à l’instar des « Préludes » de Franz Liszt, qu’il grava dans une version particulièrement inspirée, et qui fut unanimement appréciée. Il enregistrera également plusieurs disques consacrés à la musique française contemporaine, qu’il affectionnait tout particulièrement, avec des compositeurs aussi divers que Serge Lancen, Patrice Sciortino ou Guy Luypaerts, compositeurs qu’il a été le seul a enregistrer à l’époque. Pour ce faire, il travailla en étroite collaboration avec la société Corélia. Ainsi, la Musique de la Police Nationale fut l’une des toutes premières phalanges musicales à figurer au catalogue de cette maison de disques